Nom Complet — arabella eveline parrish
Âge — vingt-six ans
Nationalité/Origines — canadienne, origines romani par sa mère biologique & inconnues concernant son père
Genre — féminin
Orientation — pansexuelle
Statut marital — célibataire
Occupation/Job  — bosse dans une boutique de location de vidéos (genre vieille boutique un peu glauque, possédant même encore des rayons de vhs)
Groupe  — citoyens

Taille — moins d'un mètre soixante (1m57)
Poids — cinquantaine de kilogrammes et des poussières
Forme & couleur des yeux — bleus sombres, cils foncés et fournis, présence de cernes malgré un sommeil correct
Couleur & type de cheveux — chevelure noire épaisse ayant subi beaucoup de choses, des coupes hasardeuses aux couleurs criardes, aujourd'hui portés mi-longs
Carnation — teint plutôt pâle, rougeurs faciles, ne bronze que très peu
Signes distinctifs —  quelques grains de beauté ça et là ; une bosse brisant l'arête de son nez ; tatouages divers, la plupart discrets sauf celui trônant sur sa cuisse droite (x, x, x, x, x)

personnalité — matérialiste ; nonchalante ; désinvolte au point de parfois paraître sans-gêne, voir même mal éduquée ; impulsive parfois à l'excès, et ne contrôle que très peu ses pulsions ; profiteuse sur les bords ; rancunière ; loyale ; rude ou même impolie ; passionnée ; pessimiste ; hédoniste ; inventive ; vindicative ; égoïste ; superstitieuse dans une certaine mesure ; adepte de l'effort minimal ; irresponsable ; capricieuse ; insolente

histoire —
▸ Elle fut adoptée à l'approche de ses six ans par un couple canadien, l'un pompier et l'autre garde-forestier ; tentant depuis des années de faire accepter leur demande, Arabella était pour eux un vrai petit miracle qu'ils promirent de chérir jusqu'au bout. La décision fut prise de lui laisser le prénom qu'elle portait sur ses papiers de naissance, lui donnant 'Eveline' en second, pour finalement hériter de leur nom de famille – et avoir une vraie famille.
▸ Installés depuis des années déjà à Theresa's Haven, leurs voisins sont surpris de voir débarquer l'enfant dans leur vie, connaissant la vie chargée et active des deux hommes ; quelques langues de vipères vont même jusqu'à dire qu'ils ne s'en sortiront pas, mais contre toutes attentes, la petite fille s'intègre très bien dans leur quotidien, tous deux faisant tout leur possible pour qu'elle se sente à l'aise avec eux et s'épanouisse – quitte à parfois en faire un peu trop. Quelque chose qu'elle comprend assez rapidement d'ailleurs, révélant un petit côté capricieux. Et c'est comme ça que Maisie, un chien à la parenté inconnue adopté au refuge du coin, fut ajoutée à la petite famille.
▸ Si elle s'intègre avec peu de difficulté dans son nouvel environnement, Arabella ne brille pourtant pas sur tous les fronts. Scolairement parlant, elle se retrouve abonnée à la médiocrité, ayant quelques retards et autres difficultées, qui plus tard se retrouveront accentués par une flemme certaine ainsi que du désintérêt. C'est un point qui pendant longtemps est source de conflit avec ses parents, ces derniers souhaitant le meilleur pour elle – réalisant finalement que le meilleur est peut-être de justement ne pas la pousser trop loin.
Pourtant, sa nonchalance face à ses notes en chute libre n'est pas tout à fait sincère : quelque part elle a beaucoup de regrets vis-à-vis de son incapacité à être réellement motivée, plus encore en sachant que son rêve serait d'un jour étudier l'espace, et pourquoi pas de rejoindre l'ASC (l'Agence Spatiale Canadienne). Mais non, en dépit de grandes aspirations, elle n'arrive pas à combler ses lacunes ni se préparer à poursuivre ses études une fois ses années obligatoires terminées (et non, elle refuse de mentionner sa première année d'université qui fut un fiasco sans nom, humiliant même pour elle).
▸ Sa passion pour l'espace lui vient de ses nombreuses visites à l'observatoire de Theresa's Haven, souvent accompagnée d'un de ses pères. Tout d'abord fascinée par l'existence d'autant d'étoiles et autres planètes bien au delà des limites de son imagination d'enfant, c'est en grandissant un peu qu'elle commence à engloutir toutes les informations possibles et imaginables au sujet de potentielles formes de vie extra-terrestres. Autant dire que des séries comme X-Files sont pour elles des références cultes qu'elle connaît sur le bout des doigts. Et encore aujourd'hui, c'est une croyance dont elle ne risque pas de démordre quoi qu'il arrive – et lui valant d'être vue comme une weirdo par pas mal de ses connaissances.
▸ Concernant ses croyances, il n'y a pas que les aliens d'ailleurs. A l'époque ado rebelle voulant se démarquer des autres comme beaucoup avant elle, Arabella est rapidement tombée dans le milieu pseudo-gothique, et sa fascination pour l'occulte et le paranormal. Le tout quelque peu encouragé par une tante tenant une boutique offrant des séances de spiritisme, tirage de cartes et toutes une panoplie de babioles ne pouvant que ravir les passionnés d'occultisme.
N'y croyant pas réellement de prime abord mais se contentant de suivre le mouvement de son groupe d'amis de l'époque, elle a pourtant fini par allonger sa liste d'intérêts étranges ou inhabituels. Tout comme elle n'est jamais vraiment sortie de cette période, assez évident lorsque l'on jette un coup d'œil à sa garde-robe : beaucoup de noir, pas mal de tenues provocantes et même quelques vestiges de son adolescence qu'elle n'est pas certaine de pouvoir encore enfiler.
▸ A ce jour, sa situation n'a rien de franchement reluisante, bien qu'elle ne semble pas s'en soucier outre mesure ; logée dans le sous-sol aménagé de ses parents et n'ayant qu'à s'occuper de ses dépenses personnelles, Arabella a fini par se trouver un job dans une boutique de location de vidéo, une espèce d'antiquité dans un monde où Netflix est le go-to de la plupart des gens. Bien sûr, il y a les commérages des voisins, et qu'à son âge elle devrait se séparer du logement familial, ainsi que tout un tas d'autres choses qui lui passent largement au dessus. Et puis, c'est bien plus facile de prétendre qu'on s'en fout plutôt que d'admettre avoir trop de regrets.

pseudo — bleb
âge — meh
Avatar — oc (ilya kuvshinov)
Qu'est-ce que tu fais là ? yikes